lundi 19 mai 2014

chaussure lacoste

chaussure lacoste Il existe maintenant deux zones de tensions simultanées en Libye. Benghazi, depuis le vendredi 16 mai et une offensive d’un groupe paramilitaire dans l’est du pays ; et Tripoli, depuis ce dimanche 18 mai, où des hommes armés ont suspendu les travaux du Parlement. Barah Mikaïl, directeur de recherche sur l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient à la Fondation pour les relations internationales et le dialogue extérieur (Fride), à Madrid, a livré à RFI son analyse de la situation.
RFI : Est-ce que les événements chaussure lacoste en cours en Libye s’apparentent à un coup d’Etat ?
Barah Mikaïl : On a effectivement de la part des troupes et des alliés du général Khalifa Haftar, basé à Benghazi, une atteinte aux représentations fortes des institutions libyennes, c’est-à-dire très principalement au Congrès général national, le Parlement libyen. Cela montre que son positionnement vis-à-vis de ces institutions s’apparente à un coup d’Etat. Je ne dirais pas pour autant un coup d’Etat militaire,chaussure lacoste parce que la notion de militaire pose problème en Libye, dans un contexte où ce sont plutôt des milices qui s’affrontent de part et d’autre. Mais pour le reste, Khalifa Haftar a fait il y a quelques mois des déclarations qui s’apparentaient à une volonté de coup d’Etat. Aujourd’hui, le fait qu’il cherche à avoir un maximum d’alliés sur le terrain et à décontenancer et décrédibiliser les institutions libyennes censées favoriser le processus de transition dans le pays,chaussure lacoste montre qu’à travers ce coup de force, il veut compter comme l’un des hommes forts du processus libyen.

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